Soudain
Détaché de l’obscurité de la nuit
Tu m’es apparu…
Et plus rien d’autre n’a existé
Que nos regards qui se buvaient…
Le monde a sombré dans nos yeux
Les tiens rivés aux miens
Les miens aux tiens
Comme une décharge électrique.
Et dans ma poitrine
Je sentis les premières pulsations
D’un amour
Aussi imprévu qu’une averse d’été.
* * *
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