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Idées de Lecture
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La première personne qui a suscité cet engouement pour l’histoire de mon pays était mon professeur d’histoire en classes terminales. En effet, M. Mevs, qui de toute évidence éprouvait un plaisir immense à recréer ces évènements épiques de notre grande aventure historique, m’avait communiqué son enthousiasme et ses élans patriotiques. Mieux qu’un quart de siècle plus tard, je me retrouve à cette même croisée où l’impulsion d’apprendre davantage de notre passé collectif m’emballe merveilleusement. La motrice cette fois provient de la lecture de « Vive Salnave », une narration de l’administration d’un président plutôt méconnu du grand public. L’ouvrage a été conçu et rédigé par son arrière petit-fils, Marcel Salnave, après des recherches extensives et appropriées qui permettent d’aller au fond des faits de l’époque pour mieux comprendre leurs conjonctures et les conséquences qui en découlent. Le président Sylvain Salnave se révèle un stratège hors pair dont les prouesses militaires défrayaient la chronique de cette période. On tend à sympathiser avec ce personnage épris du bien-être des déshérités peinant au bas de l’échelle sociale, qualité plutôt rare chez l’haïtien ordinaire. Certes, les talents d’écriture de l’auteur ont contribué à faire apprécier le documentaire à sa juste valeur. La précision et clarté d’un vocabulaire sans prétention, mêlé à un style dont la fluidité facilite le débit du récit constitue un atout majeur qui accroche le lecteur pour alimenter son intérêt au plus haut point. Est-ce donc une surprise que d’espérer de lire davantage de sagas historiques haïtiennes relatées par Marcel Salnave? [Note de l’éditeur] |
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Artwork by Haitian Artists
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New Metal Work on Woodby Fred Thomas
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Thoughts to Ponder
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UNE MARCHANDE EN UNIFORME
Par Marc Accimé
Sur la route de Laboule, au haut de Pétion Ville, elle étale son petit négoce. Elle s’appelle «marchande» et elle est fière d’être adressée ainsi par les gens du quartier qui l’approchent à crédit ou au comptant pour les provisions alimentaires. Les négociations devant amener au juste prix sont souvent difficiles. Le ronflement des engins lourds et les avertisseurs tonitruants des tap-tap, ajoutés aux cris et aux bavardages de ses pairs, entrainent un rythme discordant créant une musicalité peu harmonieuse.A l’étalage, il y a un peu de tout: du céréal de toute sorte, des légumes, des végétaux, des épices et de la viande. A côté, il y a un hangar destiné à l’arrimage du charbon.
L’essence de ce récit n’est en aucun cas d’encourager la vente du charbon résultant de la coupe des bois. Dans ce pays où le déboisement rend la terre désolée et improductive, cela entrave la production agricole et, en même temps, réduit la couverture végétale qui, déjà, était à moins de 20%, selon les statistiques disponibles en 1986.
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MARTIN TOMA de Margaret Papillon
MARTIN TOMA de Margaret Papillon.
Le Nouvelliste – Cette semaine à la librairie La Pléiade Maudite éducation (roman)
Le Nouvelliste – Cette semaine à la librairie La Pléiade Maudite éducation (roman).
Should Cursive Be Saved?
Consider the case of cursive — the looping letters of flowing script also known as handwriting — disappearing from schools, lost from love letters, and now relegated most often simply to signatures.
Thanks to computers, email, texting, and tweeting, the writing’s been on the wall for cursive for years. According to Kentucky’s Lexington Herald Leader, a local high school teacher who recently tried to reinvigorate it by awarding fountain pens to students said, “Some of them didn’t know what a fountain pen was.”
Supporters of cursive say there is a societal responsibility to keep it alive, and that much more than penmanship is at stake. It’s “a gift” said one university professor, a lifelong skill, the demise of which creates cultural deficits, like an inability to read historical documents. Without learning handwriting — with its slower, contemplative pace — children’s brains will “develop in a different way that no one has really thought through,” said a neuroplasticity expert.
But others say there is zero need to save a communication form which fails to prepare students for a practical future. “Do people need to be able to write? Of course,” said one online commenter, who continued, “Is cursive the best method? Probably not, given how few people use it on a daily basis.” “Teach your kid to type accurately and quickly,” one insisted, while another suggested, “Kids should be taught how to print, because it’s all they’ll ever need if they find themselves without a cell phone to text on, or a keyboard to type with.” And then there was this: “I think HELP is easier to read from the air in big printed block letters!”
http://responsibility-project.libertymutual.com/blog/should-cursive-be-saved-?src=OB_B278_CursiveSaved#fbid=IJoDH9KRYwz&src=OB_B278_CursiveSaved